Organes: Tête et cou - Spécialités: Thérapies Ciblées
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 6 ans

Étude I4D-MC-JTJI : étude de phase 1b non-randomisée visant à déterminer la sécurité et la dose recommandée du prexasertib en association avec le cisplatine et la radiothérapie ou avec le cetuximab et la radiothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête ou du cou localement avancé. Les cancers de l’oropharynx, du pharynx et du larynx constituent 90% des cancers de la tête et du cou et sont favorisés par le tabagisme et l’abus d’alcool. Leur traitement est complexe et dépend des caractéristiques de la tumeur qui guident le choix entre la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées. Des nouvelles stratégies de traitement combinant des nouvelles molécules avec la chimiothérapie ou la radiothérapie ont montré des résultats très prometteurs. L’objectif de cette étude est de déterminer la sécurité et la dose recommandée du prexasertib en association avec le cisplatine et la radiothérapie ou le cetuximab et la radiothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête ou du cou localement avancé t. L’étude se déroulera en 2 parties : Dans la première partie de l’étude, les patients recevront du prexasertib par voie intraveineuse (IV) tous les 14 jours associé à du cisplatine en IV 1 fois par semaine et à une radiothérapie à intensité modulée 5 jours par semaine pendant environ 49 jours. Les patients resteront sous traitement jusqu’à la fin de la période de traitement. Dans la deuxième partie de l’étude, les patients recevront du prexasertib IV tous les 14 jours associé du cetuximab en IV 1 fois par semaine et à une radiothérapie à intensité modulée 5 jours par semaine (commençant la deuxième semaine) pendant environ 56 jours. Les patients resteront sous traitement jusqu’à la fin de la période de traitement. Les patients seront suivis pendant un an.

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Étude ABORL : étude de phase 2 visant à évaluer l’efficacité de l’abemaciclib en monothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête et du cou localement avancé ou métastatique après échec d’une thérapie à base de platine et de cetuximab ou d’anti-EGFR et ayant une délétion homozygote du gène CDKN2A et/ou une amplification du gène CCND1 et/ou du gène CDK6. Les cancers de la tête et du cou représentent 4 à 5 % des tumeurs solides. Lorsqu’ils sont diagnostiqués précocement, ils sont traités par chirurgie associée à une chimiothérapie et/ou une radiothérapie. Cependant, le risque de rechute locorégionale ou à distance demeure significatif. En cas de rechute locale ou métastatique, les patients sont souvent traités par une ou plusieurs chimiothérapies en association, mais il est nécessaire de trouver des stratégies de traitement plus efficaces et spécifiques. L’abemaciclib est un inhibiteur sélectif de CDK4 et CDK6 qui a montré une activité antinéoplasique potentielle, car il est capable d’arrêter la division cellulaire et d’inhiber la production d’ADN et la croissance des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de l’abemaciclib en monothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête et du cou localement avancé ou métastatique après échec d’une thérapie à base de platine et de cetuximab ou d’anti-EGFR et ayant une délétion homozygote du gène CDKN2A et/ou une amplification du gène CCND1 et/ou du gène CDK6. Tous les patients recevront de l’abemaciclib par voie orale 2 fois par jour pendant chaque cure de 28 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients auront une visite de suivi à 30 jours après la fin du traitement de l’étude ou au moment de l’initiation d’un nouveau traitement anticancéreux. Les patients seront suivis pendant 12 mois maximum.

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Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude NIRX2201 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité et l’innocuité de NIR178 associé à PDR001 chez des patients ayant certaines tumeurs solides et des lymphomes diffus à grandes cellules B (LDGCB). Le microenvironnement autour de la tumeur contient de grandes quantités d’une molécule appeléeadénosine, qui peut diminuer l’efficacité des traitements d’immunothérapie contre les cellules cancereuses. NIR178 est un antagoniste de l’adénosine, c’est-à-dire une molécule capable de bloquer ou diminuer l’effet de l’adénosine. PDR001 est un traitement d’immunotherapie. L’association d’un antagoniste de l’adénosine avec une immunothérapie a démontré une activité anticancéreuse dans les études précédentes. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi de NIR178 associé à PDR001 chez des patients ayant certaines tumeurs solides et des lymphomes diffus à grandes cellules B. Dans la partie 1, les patients recevront du NIR178 deux fois par jour en continu jusqu’à la progression. Dans la partie 2, les patients du 1er groupe recevront du NIR178, 2 fois par jour en continu. Les patients du 2ème groupe, recevront du NIR178 2 semaines sur 2. Les patients du 3ème groupe recevront du du NIR178 une semaine sur 2. Dans la partie 3, les patients recevront du NIR178 2 fois par jour par intermittence selon les résultats de la partie 2. Tous les patients recevront également du PDR001 toutes les 4 semaines pour les parties 1, 2 et 3 de l’étude. Les patients seront suivis pendant environ 6 mois.

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